Men hore [Anseele] in zijn eigen taal, zijn Gents dialect, de zo soepele, kernachtige spraak, ruig en ruw, zo geestig ondeugend en slecht gemanierd, een beetje canaljeus zelfs

Paul Kenis (1930)

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Cyriel Buysse: Verhalen en opstellen in het Frans: Les lettres flamandes, in: Verzameld werk, dl. 7 (1982), p. 819-823 (fragment p. 821)

Les soeurs Loveling

Parmi ces rares exceptions, il convient de citer en premier lieu, du côté des romanciers, les soeurs Loveling: l’aînée, Rosalie, si merveilleusement douée, morte au début de sa belle carrière; Virginie, la cadette, qui, dans ses nombreux livres, a surtout rendu la poésie intime de cette admirable terre de Flandre. Sur elle, l'influence française, si sensible chez beaucoup d'autres ecrivains flamands, demeura sans prise. En vraie Flamande, elle a eu la réelle vision flamande des êtres et des choses de sa contrée natale, et, simplement, naïvement, elle nous a conté ce qu 'elle avait vu et senti, sans même se douter qu'il existât d'autres manières de voir, de sentir et de conter. Elle est une synthèse des Flandres, très délicate et très précise, un peu menue, peut-être, comme Conscience en est une autre, beaucoup plus vaste et populaire, mais par la même, trop peu intense et condensée.

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Cyriel Buysse: Verhalen en opstellen in het Frans: Les lettres flamandes, in: Verzameld werk, dl. 7 (1982), p. 819-823 (fragment p. 821)

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[Auteurs] Buysse, Cyriel