… vrees voor 't zelfbehoud? O neen, neen, van wat belang is thans desnoods een menschenleven min of meer. Doch... al die arme jongens prijs gegeven aan verminking en aan dood!

Virginie Loveling (1914)

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Grégoire Le Roy: Maeterlinck, poète (extrait d’une conférence non publiée), gecit.ed. in: Epîtres, nr 24 (mars 1951), p. 14-15

Maeterlinck, poète

Maeterlinck est sans conteste plus poète dans ses essais philosophiques et dans son théâtre, que dans ses poèmes propement dits.
Tels drames, par exemple “La princesse Maleine”, “Pelléas et Mélisande”, cet eternel chef-d’oeuvre, et telles pages de prose comme on trouve à foison, éparses dans toute son oeuvre, sont supérieurs en qualité poétique à la plupart de ses vers.
Comme poète, il est de belle taille et le temps ne saurait plus en effacer la mémoire. Ses “Serres chaudes” resteront un des livres les plus curieux du Parnasse moderne; l’inspiration et l’expression sont les plus inattendues du monde. Elles furent, dans l’école symboliste, l’oeuvre la plus absolument symboliste.
Comme “La princesse Maleine”, comme “Pelléas et Mélisande”, elle provoqua – quand elle parut – un étonnement sans égal. Si elle dérouta et déroute encore plus d’un esprit, par ses moyens élémentaires d’évocation, elle fut longtemps une source neuve où les écrivains allèrent puiser le secret des images imprévues.
(…)

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[Auteurs] Le Roy, Grégoire